Un feu qui couve sous la cendre, le calme avant la tempête, la tendre douceur, la tristesse et la plainte d’être délaissée… puis soudain c’est le déchaînement de fureur. Derrière les pouvoirs ensorceleurs ou maléfiques des Magiciennes de la mythologie ou de la littérature épique se cachent souvent une même médaille et son revers : l’amour et le désespoir de ne pas être aimée.
Les artistes ont pioché dans les œuvres de Haendel, Cavalli, Charpentier, Lully, Webb, Purcell, et nous font découvrir une cantate peu jouée de Colin de Blamont