10 novembre 2025, on pourra peut être entendre : free at last, free at last comme l'avait aussi clamé l'autre futur président qu'était MANDELA, emprisonné à tort.
deo gratias
Une analyse réfutée par le très conservateur Il Giornale, qui considère que le discours général de la ministre portait sur l’inquiétante résurgence de l’antisémitisme et que ces quelques mots ont été sortis de leur contexte. “L’arène politique italienne n’est plus habituée aux raisonnements trop sophistiqués, fustige le journal de droite. Ce pays n’est plus capable d’écouter et de comprendre un discours intellectuel, et la faute de Roccella a été d’oublier cette donnée.”