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olé toro
Auteur : Gilloumdr  
1/26

Date :    19-09-2025 11:26:45


parlons en
Auteur : Gilloumdr  
2/26

Date :    19-09-2025 11:30:24


Andrés Roca Rey, matador superstar : «La tauromachie est plus vivante que jamais»
ENTRETIEN. Le numéro un mondial de la tauromachie fête les dix ans de son intronisation comme matador de toros à la féria de Nîmes ce samedi 20 septembre. La star péruvienne se confie en exclusivité au JDD.

Dix ans après y avoir pris part à la première corrida de votre carrière, que représentent pour vous les arènes de Nîmes ?

Nîmes, c’est bien plus qu’une simple date sur le calendrier. C’est l’endroit où mon rêve d’être matador de toros est devenu réalité. Une émotion difficile à expliquer m’envahit chaque fois que je foule le sable de ces arènes. Ce n’est pas de la nostalgie, c’est du respect.

« Derrière le costume de lumières il y a un être humain rempli de peurs et de blessures »

Respect pour l’histoire qui y habite, pour les siècles qui ont vu passer l’art, de la lutte et la beauté dans ce lieu. Je suis impressionné par ses pierres, son énergie, son silence… C’est difficile à décrire. Autrefois, on y survivait et on s’y battait ; maintenant ce que je cherche, c’est l’émotion.

Vous êtes en 2025 l’acteur principal du film d’Albert Serra, Tardes de soledad, lauréat de la Coquille d’or du Festival international de cinéma de Saint-Sébastien. Comment valorisez-vous cette participation et que vous disent les gens de cette œuvre ?

Ce film m’a mis à nu. Ça a été un miroir gênant… mais nécessaire. Il n’est pas facile de voir ta fragilité projetée sur un grand écran. Mais j’ai compris finalement que l’art ne consiste pas à se cacher, mais à oser montrer les fissures. Les gens, y compris ceux qui ne connaissaient pas mon monde, me parlent d’émotion, de profondeur… et cela me confirme que l’art de toréer, à l’instar de la vie, est quelque chose qui se ressent ; il ne s’explique pas.
Auteur : Gilloumdr  
3/26

Date :    19-09-2025 11:32:55


je l'ai vu à saint durant mes vacances d'été 2024 à Saint Gilles près d'Arles.

c'est un virtuose en habit de lumières et un profond respect pour l'animal.
ce jour là il a eu trois fois la récompense suprême et entières
Auteur : Gilloumdr  
4/26

Date :    20-09-2025 17:49:40


Justement, des personnes qui n’étaient pas taurines se sont-elles intéressées à vous après avoir vu ce film ?

Oui, et c’est la chose la plus belle que ce film a apportée. Des personnes qui n’étaient jamais allées dans une arène, y compris des gens qui se méfiaient même de la tauromachie, et qui m’écrivent aujourd’hui totalement émus. Parce qu’ils découvrent que derrière le costume de lumières il y a un être humain rempli de doutes, de peurs, de blessures. Je crois que l’aspect le plus taurin de ce film n’était pas le toro, mais bien la vérité.
Auteur : ZAZI13  
5/26

Date :    21-09-2025 07:54:40


Tradition locale ininterrompue , barbarie protégée !

En France, la loi reconnaît que la corrida et les combats de coqs sont des actes de cruauté envers les animaux.
Mais elle les autorise… parce que c’est une tradition.

Autrement dit :
Si vous tuez un taureau à coups d’épée dans une ville lambda, c’est un crime.
Si vous le faites dans une arène du Sud, c’est du folklore.

Même logique dans le Nord avec les combats de coqs : des animaux qui s’entretuent sous prétexte de « culture populaire ».

L’absurdité du concept

« Tradition locale ininterrompue » signifie qu’une pratique violente, du moment qu’elle a survécu sans interruption, est sanctuarisée.
Donc plus une cruauté dure, plus elle est protégée.

C’est la prime à la barbarie.

L’argument de la tradition ?

On l’a déjà entendu :

L’excision aussi est une tradition.

Le repassage des seins aussi.

Le duel à mort l’était aussi en France, tout comme l’esclavage dans les colonies.......

Toutes ces pratiques ont été abolies,
car la société a reconnu que la tradition ne justifie pas la souffrance et la mutilation.

🐂🐓 Ce qui reste aujourd’hui

La corrida et les combats de coqs sont des reliques d’un autre âge, entretenues au nom d’un folklore qui sacralise la souffrance animale.
Elles ne survivent que grâce à une faille juridique : l’exception des traditions locales ininterrompues.


Une tradition n’est pas sacrée si elle repose sur la torture.
Ce qui est cruel doit disparaître, qu’il soit ancien ou non.
L’abolition de cette exception serait un pas de plus vers une société cohérente, où la culture ne sert plus d’alibi à la barbarie.

VENEZ NOMBREUX !!!
le 27 septembre à EURATECHNOLOGIE à Lomme...: Paul Watson, prouve qu’on peut mettre son courage et son génie au service de la vie, plutôt qu’au service de la souffrance et de la mort .......



Auteur : Gilloumdr  
6/26

Date :    21-09-2025 08:26:22


À présen,t elles devraient se soigner
Auteur : Gilloumdr  
7/26

Date :    21-09-2025 08:26:34


😂😂😂😂
Auteur : Gilloumdr  
8/26

Date :    21-09-2025 08:27:10


Andrés Roca Rey, matador superstar : «La tauromachie est plus vivante que jamais»
ENTRETIEN. Le numéro un mondial de la tauromachie fête les dix ans de son intronisation comme matador de toros à la féria de Nîmes ce samedi 20 septembre. La star péruvienne se confie en exclusivité au JDD.

Dix ans après y avoir pris part à la première corrida de votre carrière, que représentent pour vous les arènes de Nîmes ?

Nîmes, c’est bien plus qu’une simple date sur le calendrier. C’est l’endroit où mon rêve d’être matador de toros est devenu réalité. Une émotion difficile à expliquer m’envahit chaque fois que je foule le sable de ces arènes. Ce n’est pas de la nostalgie, c’est du respect.

« Derrière le costume de lumières il y a un être humain rempli de peurs et de blessures »

Respect pour l’histoire qui y habite, pour les siècles qui ont vu passer l’art, de la lutte et la beauté dans ce lieu. Je suis impressionné par ses pierres, son énergie, son silence… C’est difficile à décrire. Autrefois, on y survivait et on s’y battait ; maintenant ce que je cherche, c’est l’émotion.

Vous êtes en 2025 l’acteur principal du film d’Albert Serra, Tardes de soledad, lauréat de la Coquille d’or du Festival international de cinéma de Saint-Sébastien. Comment valorisez-vous cette participation et que vous disent les gens de cette œuvre ?

Ce film m’a mis à nu. Ça a été un miroir gênant… mais nécessaire. Il n’est pas facile de voir ta fragilité projetée sur un grand écran. Mais j’ai compris finalement que l’art ne consiste pas à se cacher, mais à oser montrer les fissures. Les gens, y compris ceux qui ne connaissaient pas mon monde, me parlent d’émotion, de profondeur… et cela me confirme que l’art de toréer, à l’instar de la vie, est quelque chose qui se ressent ; il ne s’explique pas.

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