CASPAR VELDKAMP OU LE TRIOMPHE DE LA DIGNITÉ

Dans ce siècle où tant d’hommes s’accrochent aux ors du pouvoir comme des naufragés à leur épave, un ministre a choisi de se dresser, seul, du côté de la justice. Ce que l’on croyait impossible en France comme dans bien des pays arabes — où la fonction publique est trop souvent préférée à la vérité, et les privilèges à la conscience — a pris corps en Hollande, sous la figure d’un homme dont l’âme n’a pas fléchi.

Caspar Veldkamp, chef de la diplomatie néerlandaise, a refusé de se rendre complice par le silence. À l’heure où l’on tergiversait sur d’éventuelles sanctions contre Israël, il a choisi de se lever, de dire non, et de déposer les insignes de sa charge plutôt que de se charger de honte. Son départ n’est pas une fuite, mais une victoire : celle d’un homme qui a préféré perdre son poste plutôt que de perdre son honneur.

Qu’un ministre ose un tel geste dans le tumulte du monde moderne relève de l’héroïsme. Ce n’est pas une démission, c’est une proclamation : la justice vaut plus que les avantages d’une fonction, la dignité pèse plus que les titres et les salaires, la vérité vaut plus que tous les compromis.

Le monde entier devrait s’incliner devant cet acte de bravoure. Car dans cette démission résonne le cri de Gaza martyrisée, mais aussi l’espérance d’une humanité qui, malgré les complicités et les lâchetés, peut encore trouver refuge dans la conscience d’un seul homme.

Ainsi, l’Histoire retiendra le nom de Caspar Veldkamp, non pas comme un ministre qui a quitté son poste, mais comme un homme d’État qui a choisi l’honneur. Et son geste, semblable à une lumière fragile mais inextinguible, continuera d’illuminer l’horizon d’un monde trop souvent livré à l’ombre.

Bravo Monsieur
Un Ministre qui a pris une position juste, courageuse et surtout Humaine.

« Quand ma grand-mère est arrivée ici, après l'Holocauste, l'Agence juive lui a promis une maison. Elle n'avait rien, toute sa famille a été exterminée. Elle a attendu longtemps dans une tente, dans une situation extrêmement précaire. Ils l'ont ensuite emmenée à Ajami, à Jaffa, dans une belle maison sur la plage. Elle a vu que sur la table il y avait encore la vaisselle des Arabes qui y vivaient et qui avaient été chassés. Alors elle est retournée à l'agence et a dit : « Ramenez-moi à la tente, je ne ferai jamais à quelqu’un d'autre ce qui m'a été fait. »

Ceci est mon héritage, mais tout le monde n'a pas fait ce choix. Comment pouvons-nous devenir ce à quoi nous nous opposions ? Voilà la grande question."

Hadar Morag cinéaste israélienne.

Bravo et Respect à tous les braves qui n'ont pas vendu leur conscience au diable et sont restés humbles et droits !!

Auteur : Coztoudi  

En effet !

Gaza/Caterpillar : Le fonds souverain norvégien retire son capital en raison de « violations des droits humains » à Gaza.

Détenu par la Banque centrale de Norvège, le fonds a déclaré avoir agi sur recommandation de son Conseil d'éthique, qui a constaté que « les bulldozers fabriqués par Caterpillar sont utilisés par les autorités israéliennes pour la destruction illégale et généralisée de biens palestiniens ».

« Il ne fait aucun doute que les produits Caterpillar sont utilisés pour commettre des violations généralisées et systématiques du droit international humanitaire » dans ce territoire en guerre depuis près de deux ans, a déclaré le fonds dans un communiqué.

Le fonds souverain norvégien a également annoncé son retrait de cinq banques israéliennes accusées de financer la construction de colonies illégales en Cisjordanie occupée par Israël.

www.sudouest.fr/international/moyen-orient/israel/caterpillar-le-fonds-souverain-norvegien-se-retire-du-capital-en-raison-de-violations-des-droits-humains-a-gaza-25665542.php

Auteur : Coztoudi  

[url]https://youtu.be/euGjmxTH_Jo?si=mZJNRVdiwWNoWAVu[/url]

Présentation :
" Le film sur Gaza « The Voice of Hind Rajab » a battu le record de standing ovation à la Mostra"

CINÉMA - Trois jours avant la cérémonie de clôture de la 82e Mostra de Venise, les jeux seraient-ils déjà faits ? Toute l’équipe du film The Voice of Hind Rajab sur la guerre à Gaza était présente sur le Lido. Après une conférence de presse d’une rare intensité, et un tapis rouge engagé, le film a été projeté au public. Il a reçu une standing ovation d’une durée inédite dans l’histoire de la Mostra, mais également dans celle des festivals de cinéma en général.

La réalisatrice Kaouther Ben Hania, ainsi que les acteurs Amer Hlehel, Clara Khoury, Motaz Malhees et Saja Kilani ont été applaudis ce mercredi 3 septembre pendant 23 minutes et 50 secondes. The Voice of Hind Rajab est devenu ce mercredi 3 septembre le film le plus applaudi de tous les festivals de 7e art, battant le record de Le Labyrinthe de Pan de Guillermo del Toro. Le film fantastique avec Sergi Lopez avait reçu 22 minutes d’applaudissements lors du Festival de Cannes 2006.

Lorsque les lumières se sont rallumées dans la Salla Grande ce mercredi 3 septembre, le public a immédiatement commencé à scander « Free, Free Palestine », tandis que certains spectateurs brandissaient des drapeaux du pays. Le comédien Motaz Malhees, lui, a soulevé un portrait d’Hind Rajab. Une photo de la fillette avec lequel il avait posé sur le tapis rouge quelques minutes plus tôt. Il arborait, ainsi que toute l’équipe du film, un pins affichant le mot « Enough - Assez » très visible sur des tenues intégralement noires.

Auteur : Coztoudi  

linsoumission.fr/2025/09/24/greve-italie-genocie-gaza
Intro :
" Près d’un million de manifestants ont répondu à l’appel de grève générale lancé par l’Unione Sindacale di Base (USB) lundi 22 septembre avec les dockers de Gênes, dont l’un des leurs, José Nivoi est actuellement embarqué sur la Global sumud Flottilla. Un appel à tout bloquer (« Blocchiamo tutto ») pour soutenir la flottille, exiger la fin du génocide à Gaza et pointer la complicité de la Première ministre d’extrême droite du pays, Giorgia Meloni, nostalgique de Mussolini."
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Auteur : Coztoudi  

revolutionpermanente.fr/Greve-pour-Gaza-le-mouvement-ouvrier-italien-montre-la-voie-a-suivre-pour-arreter-le-genocide