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Date : 07-07-2025 10:25:18
État de droit ?
Absolument pas.
Vengeance d'état.
Rappelez-vous, il fut défendu par Jacques Vergès....
Georges Ibrahim Abdallah : 41 ans de détention, et toujours pas libre.
Condamné en 1987 à la perpétuité avec possibilité de libération conditionnelle, Georges Abdallah est juridiquement libérable depuis 1999. Pourtant, 25 ans plus tard, il croupit toujours à la prison de Lannemezan. Pourquoi ? Non pas parce que le droit l’y oblige, mais parce que l’État refuse de l’appliquer.
Chaque décision favorable à sa libération est bloquée par une manœuvre administrative ou politique : un ministre qui refuse de signer son expulsion, un parquet qui fait systématiquement appel, des exigences nouvelles comme l’indemnisation des parties civiles…
RIEN dans la loi ne justifie son maintien en détention aujourd’hui.
Ce n’est plus de la justice, c’est de la vengeance d’État.
En France, un homme de 74 ans est retenu prisonnier non pour ce qu’il a fait, mais pour ce qu’il représente.
Une telle détention sans fondement strictement légal est une tache sur l’honneur d’un pays qui se veut État de droit.
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