Auteur : Causetoujours  

basta.media/trois-petites-fermes-valent-mieux-qu-une-grande-des-paysans-montrent-la-voie
Intro :
" Partager terres agricoles et bâtiments pour permettre à d’autres de s’installer, c’est le choix d’un couple de paysans dans la Loire. En 20 ans, sur leurs 70 hectares, ils sont passés de 1 à 3 fermes où huit personnes travaillent et vivent bien."
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Par Sophie Chapelle

Et si nous étions solidaires en tant que consommateurs ? Et en tant que salariés ou retraités, contre l'injonction à la concurrence qui nous est transmise dès la plus tendre enfance à l'école ?
N'oublions pas la maxime des dominants "Diviser pour mieux régner" (en pensant à Lactalis, ou Macron avec son "arc républicain" par exemple)

À votre avis...

Auteur : Causetoujours  

Sachant que les riches s'avèrent solidaires pour entretenir la concurrence en même temps que leur domination sur nos modes de vie, l'alimentation, le logement etc...
basta.media/Logement-Pourquoi-les-villes-francaises-resistent-encore-aux-geants-financiers-de-l-immobilier-privatisation-HLM
Intro :
" Comment les gestionnaires d’actifs financiers façonnent nos villes ? Les chercheurs Antoine Guironnet et Ludovic Halbert décryptent l’empire urbain de la finance, de Blackstone à Axa, des 1 % les plus riches aux fonds de pension. Entretien."
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Par Rachel Knaebel

Auteur : Causetoujours  

www.lactucitoyenne.fr/actualites/social/des-smartphones-et-pas-de-soutien-aux-agriculteurs-un-dirigeant-de-la-fnsea-pointe-la-responsabilite-des-consommateurs-francais
Intro :
" Ce jeudi 22 février, l'antenne de BFMTV est devenue l'arène mettant en lumière la responsabilité, supposée, attribuée aux Français dans les difficultés poussant les agriculteurs à manifester leur colère. Damien Greffin, Vice-président de la FNSEA, était l'invité du jour, venu exprimer la frustration croissante des producteurs laitiers. La mobilisation du 21 février, au cours duquel environ 200 agriculteurs ont envahi le siège de Lactalis, illustre parfaitement leur niveau de désespoir face au prix jugé dérisoire du litre de lait acheté aux producteurs.
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Et conclusion :
L'argument selon lequel les malheurs des agriculteurs seraient directement imputables aux choix des consommateurs français mérite d'être reconsidéré. Il est impératif de reconnaître le rôle des intermédiaires et des géants de l'agroalimentaire dans la formation des prix, tout en tenant compte des réalités économiques des consommateurs. Plutôt que de pointer du doigt et de généraliser, une approche plus nuancée et solidaire pourrait favoriser une meilleure compréhension entre producteurs et consommateurs. Il s'agit de trouver un équilibre durable qui respecte à la fois le travail des agriculteurs et le pouvoir d'achat des citoyens, dans un contexte économique où chacun fait face à ses propres défis."

Auteur : Causetoujours  

Contre la concurrence à tout va !

www.politis.fr/articles/2024/02/marc-fesneau-ne-change-pas-du-tout-le-cap/
Intro :
" Manon Meunier, ingénieure agronome et députée insoumise de Haute-Vienne, estime que le gouvernement n’est pas à la hauteur de la crise du monde paysan. Et appelle à un changement de modèle agricole."
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Par Lucas Sarafian

Si Macron se trouve contraint de proposer des prix planchés aux agriculteurs, c'est que le modèle européen de concurrence obligée ne fonctionne pas bien pour assurer des prix de marchés viables pour tout le monde. La meilleure preuve en est que l'UE doit administrer la concurrence pour la garantir "libre et non faussée"! Donc, autant le dire clairement: une économie fût elle libérale ne peut pas ne pas être administrée: tout est question de priorités. Or lors des deux dernières présidentielles, la Fi proposait de remettre en cause les traités européens ainsi que les traités de libre échange à l'échelle mondiale...Monsanto ne peut pas rester prioritaire devant notre qualité de vie !

Auteur : Causetoujours  

www.politis.fr/articles/2024/02/salon-agriculture-main-dans-la-main-le-gouvernement-et-la-fnsea-tapent-encore-sur-les-plus-precaires/
Intro :
" À la veille du Salon de l’agriculture, le gouvernement a fait de nouvelles annonces pour calmer la colère des agriculteurs. Une nouvelle fois, les salariés agricoles en sont les grands absents. Pire, ils sont la principale cible."
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Par Pierre Jequier-Zalc

Conclusion :
" Acculés, les syndicats de travailleurs agricoles restent toutefois combatifs. « Si les droits des salariés sont remis en cause, nous saurons prendre nos responsabilités syndicales en conséquence. Nos organisations feront barrage à toutes velléités de remise en cause des droits sociaux et normes sociales », assurent-ils, dans leur communiqué commun. Malgré tout, alors que les exploitants agricoles – notamment les plus puissants – continuent de gagner avantage sur avantage, les salariés, eux, se battent pour simplement préserver les maigres droits acquis au fil des années."

Mais tous les salariés, même en-dehors du monde agricole, sont menacés par le macronisme, sauf les traders et les grands patrons !...

Auteur : Causetoujours  

linsoumission.fr/2024/02/24/prix-planchers-macron/
Intro :
" Prix planchers rémunérateurs – Macron reprend la proposition de LFI trois mois après l’avoir rejetée.
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Face à la cacophonie des annonces, les agricultures restent partagées et prudents. Pourquoi les députés macronistes ont-ils torpillé la proposition de loi des insoumis en novembre dernier pour finalement la reprendre quatre mois plus tard ? Cette annonce d’Emmanuel Macron sera-t-elle bel et bien concrétisé ? Tous ont en tête les mots de Marc Fesneau, qui, le 27 janvier déclarait à propos des prix planchers : « ce n’est pas aussi simple que ça […] On a besoin que les prix montent y compris au niveau national ». Notre article."
Les insoumis ont porté à l’Assemblée nationale une proposition de loi visant à lutter contre la hausse des prix par l’encadrement des marges des industries agroalimentaires, du raffinage de produits pétroliers et de la grande distribution. Dans le même texte, les parlementaires LFI avaient inscrit la mise en place de prix planchers (minimums) pour l’achat de matières premières agricoles aux producteurs. Une mesure nécessaire, surtout à cause de l’échec des lois Egalim, soutenus par le pouvoir en place, censées protéger les revenus des agriculteurs.
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twitter.com/L_insoumission/status/1749441060210708771?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1749441060210708771%7Ctwgr%5E65c9a5172f15a58232c315391891527f9b2ad97e%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Flinsoumission.fr%2F2024%2F02%2F24%2Fprix-planchers-macron%2F

Auteur : Causetoujours  

linsoumission.fr/2024/02/26/desneau-agriculteurs-lfi-victoire/
Intro :
" Le 30 novembre 2023, LFI défend l’instauration de prix garantis rémunérateurs pour les agriculteurs (aussi dit « prix planchers ») dans le cadre de sa niche parlementaire. Le camp présidentiel et le reste de la droite s’opposent au texte, rejeté à six voix près. Le 24 février, premier jour du salon de l’Agriculture, le chef de l’État reprend la proposition des insoumis et défend l’instauration de prix planchers, filière par filière. Son ministre de l’Agriculture, Marc Fesneau, assiste à cette scène en direct, le regard livide et défait.
En réalité, Emmanuel Macron reprend une mesure défendue de longue date par le mouvement insoumis. Dès 2018, Jean-Luc Mélenchon la défendait à la tribune de l’Assemblée nationale. Sans répondre à tous leurs maux, elle aurait pu prévenir la profonde crise agricole en cours. Il s’agit ici de faire un retour sur la débâcle d’un ministre de l’Agriculture désavoué par le président de la République et sur une victoire idéologique du mouvement insoumis. Une autre question reste en suspens : l’annonce de Macron se concrétisera-t-elle ou sera-t-elle une énième opération de com’ qui finira en mesure diluée et inefficace ? Notre article.
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Auteur : Causetoujours  

reporterre.net/En-pleine-crise-agricole-la-France-soutient-deux-nouveaux-accords-de-libre-echange
Intro :
" Les eurodéputés vont voter ce jeudi sur deux nouveaux accords de libre-échange avec le Chili et le Kenya. Des textes à l’opposé des revendications des agriculteurs mobilisés, dénoncent les auteurs de cette tribune."
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Collectif national Stop CETA/Mercosur