Comme il l'est rappelé dans l'article, l'essentiel c'est le programme alors pourquoi pas une femme de gauche à la présidence de la république pour nous faire oublier toutes les Margaret Thatcher, Ursula von der Leyen et Georgia Meloni, sans oublier Christine Lagarde ?
theconversation.com/feminisation-de-la-politique-des-changements-en-trompe-loeil-249524 Intro :
" La féminisation de la politique française est notable, mais elle reste limitée. Elle est plus lente que celle à l’œuvre dans les métiers de la médecine, du barreau, de l’enseignement supérieur ou du journalisme. Comment l’expliquer ?" ...
Par Catherine Achin
Professor of Political Science, Université Paris Dauphine – PSL
Oui bof!...Moi je préfèrerais qu'il n'y ait que des femmes au pouvoir, au moins saurait-on dans quel monde elles veulent chacune jeter leur progéniture! Et les hommes seraient moins surpris!...
Encore un article décevant de The Conversation, après le précédent ! Un sociologue qui verse dans la psychologisation tout en interprétant la liberté légitime des hommes de se protéger c'est chelou !...Son auteur aurait-il raté une vocation de psychanalyste de comptoir, et se rend-il seulement compte que notre culture ne reconnaît que des langues maternelles...ou pas: toutes les autres ?! La langue de chacune de celles qui protègent leurs enfants...plus ou moins bien, et en tout cas différemment selon qu'il s'agit de fille ou de garçon, on le sait par d'autres sociologues...
www.lemonde.fr/m-le-mag/article/2025/02/23/alice-weidel-candidate-de-l-extreme-droite-allemande-et-des-lieutenants-de-trump_6559870_4500055.html Intro :
" En couple avec une femme d’origine étrangère, la cheffe de file de l’AfD assume pourtant une rhétorique anti-immigration et convoque sans complexes des références au IIIᵉ Reich. Un positionnement qui lui vaut d’être adoubée par Elon Musk et le vice-président américain J. D. Vance tandis que son parti est crédité de plus de 20 % d’intentions de vote aux législatives du 23 février." ...
Par Elsa Conesa (Berlin, correspondante)
L'article est réservé aux abonnés mais le cas évoqué me conforte dans mon utopie: laisser le pouvoir aux femmes de manière à connaître les programmes qui font rêver les électrices...
De la guerre des sexes à la (vraie) guerre sous couvert d'égalité: une femme générale en cheffe tentée par la dictature économique et financière qui l'a portée au pouvoir, qui l'eût cru ?...