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Sortie n° 6416911, créée le 17 04 2025
Ciné annoeullin, ma mère dieu et sy
Sponsor
Organisateur
 Nellil
Date de la sortie
Heure de début
Vendredi 25 Avril 2025

Inscriptions & désinscriptions jusqu'à :
L'heure de la sortie
20:30
Descriptif de la sortie

 

MA MERE DIEU ET SYLVIE VARTAN 

 

 

91 % des utilisateurs ont aimé ce film
 
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Description

En 1963, Esther met au monde Roland, petit dernier d'une famille nombreuse. Roland naît avec un pied-bot qui l'empêche de se tenir debout. Contre l'avis de tous, elle promet à son fils qu'il marchera comme les autres et qu'il aura une vie fabuleuse.
Date de sortie : 19 mars 2025 (France)
Réalisateur : Ken Scott
Durée : 1h 42m
Scénario : Ken Scott
 
tarif normal 5€
réduit : 4€

CRITIQUE - Tirée d’une histoire vraie, cette adaptation réussie du best-seller de Roland Perez met en scène Leïla Bekhti en mère totalement dévouée à son fils handicapé. Au côté de Jonathan Cohen, elle fait des étincelles.

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Bien qu’elle s’inspire d’une histoire vraie, l’intrigue de Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan  est totalement farfelue. Le secret d’une bonne comédie dramatique ? Tout commence en 1963, à la naissance de Roland Perez. Dernier-né d’une fratrie de six, Roland n’a rien de spécial à l’exception d’un pied-bot qui le condamne aux yeux des médecins à une vie de personne handicapée appareillée si elle veut marcher.

Pourtant, le bambin crapahute joyeusement à quatre pattes dans l’appartement familial d’un modeste HLM dans le 13e arrondissement de Paris. Sa mère, Esther (Leïla Bekhti, énergique en diable), ne l’entend pas ainsi. Niant l’évidence, cette mère d’origine marocaine va tout faire pour que son fils chéri puisse « aller en marchant à son premier jour d’école ». Qu’importent les obstacles, et surtout Jeanne Balibar en assistante sociale pète-sec, figure corsetée jusqu’à l’excès de l’autorité étatique. Dans la relation mère-fils, on retrouve quelque chose de celle qu’entretenait Romain Gary avec la sienne dans La Promesse de l’aube .

Ce lien fusionnel excessif, enveloppant jusqu’à l’étouffement, fournit le moteur secret de cette comédie autobiographique réalisée par l’humoriste et réalisateur québécois Ken Scott (StarbuckThe Delivery Man ou Jet Lag). Dès les premières images, on fait d’ailleurs connaissance avec le héros à l’âge adulte (incarné avec une irrésistible drôlerie par Jonathan Cohen). Assis à une table face à son ordinateur, il raconte son histoire en voix off, distillant ce petit décalage temporel qui provoque le rire et la distanciation.

Leïla Bekhti se taille, elle, la part du lion. En infatigable mère courage, on la voit parcourir la capitale, son fils de 5 ans dans les bras, à la recherche d’un remède miracle. Elle lui a promis « une vie fabuleuse ». Elle veut tenir parole. Médecins, guérisseurs, charlatans, tout le monde y passe, jusqu’à la femme d’un rebouteux qui prend le problème à bras-le-corps. Pour guérir, la vieille sorcière emprisonne le petit Roland dans une camisole de cuir et d’acier, un vrai instrument de torture. Immobilisé durant dix-huit mois, le petit héros n’a qu’une échappatoire, regarder la télévision et ses trois pauvres chaînes. Le soir, il est fasciné par les shows de Sylvie Vartan. Qu’à cela ne tienne, sa famille lui achète tout ce qui à trait de près ou de loin avec la chanteuse yé-yé qui devient un indispensable soutien émotionnel. Comme dit la rebouteuse : « Ce n’est pas Mozart, mais Sylvie Vartan fait partie du traitement. »

Chaleureux et émouvant

Le film avance à 100 à l’heure, à l’équilibre entre la comédie, l’émotion et le mélodrame. Chronique virevoltante du Paris gouailleur des années 1960 jusqu’à aujourd’hui, Ma mère, Dieu et Sylvie Vartan se scinde en deux périodes, l’enfance et l’âge adulte. Car Roland va également devoir se détacher de cette mère ultrapossessive au moment de prendre son envol.

« Feel good movie » chaleureux et émouvant, le film raconte la détermination inébranlable d’une mère et comment s’en émanciper. Cette histoire personnelle aux vertus universelles reste néanmoins une ode à l’amour maternel et à la résilience. On regrettera seulement les séquences d’interview avec Sylvie Vartan rajeunie numériquement. Pas très convaincant et un peu inutile dans le déroulé du récit. Dommage.

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