@Laure Camille
QUI SUIS-JE ?

J’ai étudié à l’European Business School Paris (école de commerce privée française propriété du groupe Accelis - Holding spécialisée dans l'acquisition, l'administration, la gestion et la cession de tous supports de placements financiers (valeurs mobilières) et la prise de participation au capital de toutes sociétés existantes ou nouvelles.).

J’ai fait ma carrière dans le courtage et le négoce de matières premières agricoles, c’est-à-dire leur mise en vente sur les marchés financiers

Je suis :
► Propriétaire d’une exploitation céréalière de Seine-et-Marne de près de 700 hectares, soit dix fois la taille moyenne d’une exploitation française
► Maire du village de Trocy-en-Multien depuis 2014, en succédant à mon père qui avait lui-même succédé à mon grand-père
► Vice-président de la Communauté de communes du Pays de l’Ourcq en charge de la Commission Aménagement du Territoire - Politiques contractuelles et durables
► Vice-président de la Fédération française des producteurs d'oléagineux et de protéagineux (FOP)
► Président du conseil d’administration d’Avril, groupe industriel et financier qui commercialise notamment les huiles végétales Lesieur ou encore l’agrocarburant Diester
► Directeur général de Biogaz du Multien,
► Administrateur de Saipol, leader français du secteur de la trituration, du raffinage des huiles végétales et de la production de biodiesel.
► Président du conseil d’administration de Sofiprotéol, qui finance des crédits aux acteurs du secteur agro-alimentaire et de l'agro-industrie et plus particulièrement de la filière oléo-protéagineuse
► Vice-président de la fédération départementale, la FDSEA de Seine-et-Marne
► Vice-président de la chambre d’agriculture de Seine-et-Marne

Je travaille au service de l'agro-industrie. Je dirige ou administre une quinzaine d’entreprises, de holdings et de fermes.J’étais chargé des négociations sur la répartition des fonds européens de la politique agricole commune (PAC) pour 2023 à 2027.

Je milite :
► pour les OGM,
► pour la réintroduction des semences enrobées de néonicotinoïdes,
► pour les méga-bassines
► pour l’utilisation des pesticides
► contre les normes environnementales
► contre le principe législatif de non-régression du droit de l’environnement selon lequel les lois et règlements de protection de l’environnement ne peuvent faire l’objet que d’une amélioration constante.


Je suis… Arnaud Rousseau, président de la FNSEA…

Auteur : Causetoujours  

reporterre.net/Arnaud-Rousseau-pompier-pyromane-a-la-tete-de-la-FNSEA
Intro :
" Le syndicat agricole et son président Arnaud Rousseau se positionnent en tête de pont de la mobilisation des paysans. Mais ce riche patron n’est pas le mieux placé pour défendre les manifestants."
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Par Héloïse Leussier

Auteur : Causetoujours  

www.humanite.fr/politique/agriculture-intensive/les-grands-cerealiers-ne-manifestent-pas-ils-sont-au-ski-pourquoi-la-mobilisation-des-agriculteurs-est-concentree-dans-le-sud-ouest
Intro :
" La mobilisation des agriculteurs n’a pas faibli du week-end en Occitanie. Si les revendications légitimes sur les prix sont partagées par l’ensemble du monde agricole, la FNSEA réclame également des reculs écologiques. Le syndicat sera reçu à 18 heures, lundi 22 janvier, par le premier ministre Gabriel Attal."
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Par Pierric Marissal

Auteur : Causetoujours  

lvsl.fr/christophe-bex-le-gouvernement-est-incapable-de-repondre-aux-problemes-des-agriculteurs/
Intro :
" Depuis une semaine, les manifestations des agriculteurs secouent la France entière. Celles-ci ont débuté à Carbonne (Haute-Garonne) avec un blocage autoroutier, qui n’a toujours pas été levé. Député de la circonscription, l’insoumis Christophe Bex s’est rendu à plusieurs reprises sur le blocage pour échanger avec les agriculteurs. Il y a observé une colère très profonde, que les récentes mesures annoncées par le gouvernement ne pourront pas calmer. D’après lui, l’incapacité des agriculteurs à vivre dignement de leur travail n’est pas due à des normes ou à des taxes excessives, mais bien au libre-échange et à la dérégulation totale du marché alimentaire, qui risque de tuer le secteur agricole, comme l’industrie auparavant. Pour Christophe Bex, ce mouvement social, qui échappe largement à la FNSEA, offre l’occasion d’arrêter cette destruction avant qu’il ne soit trop tard, à condition de prendre des mesures fortes. Entretien."
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Par William Bouchardon